IFS, l’éditeur mondial de solutions de gestion d’entreprise, révèle les résultats de son enquête menée auprès de plus de 1 000 décideurs IT, tous secteurs d’activités confondus (fabrication industrielle, construction, distribution, …) dans 12 pays. Il résulte de cette étude que 93% des répondants sont enclins au changement et le considèrent comme une opportunité pour leur entreprise.
UNE VISION DIFFÉRENTE SELON LES PAYS
Chine : les cadres dirigeants sont très influents : 65% d’entre eux prennent des décisions contre une moyenne internationale de 37%. Il y a donc un vrai contraste entre le manque de responsabilité perçue des collaborateurs chinois et les normes locales (respectivement 11% et 6% alors que les valeurs moyennes mondiales respectives sont de 21% et 20%).
Disruption : les technologies disruptives (ou technologies de rupture) ont une forte influence en Allemagne (44%) et en Chine (42%) alors que la moyenne mondiale est de 25%.
Benelux et pays Scandinaves : les collaborateurs belges, luxembourgeois et norvégiens sont ceux ayant le plus d’influence en entreprise (44% pour ces trois pays contre une moyenne mondiale de 28%). En revanche, il est accordé peu d’importance à l’environnement législatif et politique local. Seulement 11% des répondants pensent qu’un changement de gouvernement peut influer sur la croissance de leur entreprise et 7% des répondants suédois, norvégiens et danois estiment que la règlementation locale influe sur leur développement.
Brésil : pour 81% des répondants brésiliens, la règlementation locale ou un changement de gouvernement peuvent avoir un impact fort sur la transformation de leur entreprise. La moyenne mondiale est de 38%. Cela contraste radicalement avec l’Allemagne pour laquelle seulement 2% des répondants estiment que l’étiquette politique du gouvernement influence leurs activités.
Royaume-Uni : les entreprises britanniques accordent plus d’attention à la transformation des produits et des services par rapport aux autres pays (51% pour une moyenne mondiale de 29%).
France : les répondants français sont plus sensibles aux fusions et acquisitions que les participants des autres pays (41% soit, plus du double de la moyenne mondiale qui est à 20%).
Espagne : 59% des participants espagnols estiment que les cadres dirigeants de l’entreprise ont autant d’influence que les clients.
Amérique du Nord : les entreprises américaines accordent plus d’importance aux changements de gouvernement que les autres pays avec un taux de 37% alors que la moyenne mondiale est de 18%.